Les travaux vont bon train sur le site de Bon Secours, devenu désormais le quartier Cœur Impérial. Et pour celui qui n’est pas venu à Metz depuis quelques temps, il est bien difficile de reconnaître les lieux.
La métamorphose est spectaculaire et le futur quartier du Cœur Impérial prend un peu plus forme chaque jour. Avec un budget de 100 millions d’euros, ce chantier initié au début de l’année 2018 est un des plus importants du pays, si l’on excepte bien sûr l’Île-de-France. Ce ne sont pas moins de 450 logements dont 123 appartements aidés et une résidence sénior de grand standing qui poussent ici comme des champignons, 80% des lots ont déjà trouvé preneur et les premières livraisons sont prévues pour troisième trimestre 2019.
Le projet est divisé en six parties distinctes, gérées par plusieurs partenaires et notamment le groupe Habiter Promotion maître d’œuvre du chantier. Parmi ses six résidences répartis au tour d’une diagonale piétonnière traversant tout le quartier, plusieurs bâtiments comme la résidence le Monarque (51 appartements) qui sera l’emblème du nouveau quartier. Autre pièce maîtresse du projet, la résidence Le Gouverneur (96 appartements) commercialisée par le groupe Claude Rizzon.
Une résidence sénior en vedette
Partie importante du nouveau quartier, sa résidence sénior composée de 78 appartements (du T2 au T4). Une résidence dotée de grands espaces communs de plus de 600m², exclusivement réservés aux résidents, mais aussi d’une bibliothèque, des salles d’activité et de loisirs. Ainsi qu’une conciergerie et surtout une piscine couverte. Tout cela au milieu d’un grand parc privatif et arboré d’une surface de 18 ares.
Derrière cette résidence sénior en cœur de ville, la volonté de libérer ces derniers des contraintes de la vie quotidienne tout en évitant l’isolement et le repli sur soi. Au milieu d’un quartier dynamique et à deux pas du centre-ville et de la gare, le pari a de belles chances de réussir. Pour plus d’informations sur le quartier Cœur impérial, la Maison du projet est ouverte devant l’église Sainte-Thérèse pendant toute la durée des travaux.
Par Thibaut Goetz
