Photographie mon amour : un amour de festival

Le Festival « Photographie mon amour » a été imaginé par le collectif messin Bout d’Essais il y a 1 an avec la volonté de faire résonance à d’autres festivals de la photographie tel que « Circulation(s) » à Strasbourg.

 

« Photographie mon amour » se tiendra du 19 avril au 19 mai 2019 à la Basilique Saint-Vincent et du 4 au 5 mai 2019 à Bliida. Évènement gratuit et ouvert à tous, le festival est propice au partage et aux échanges entre passionnés de la photographie, artistes, amateurs et professionnels de l’image. Le collectif Bout d’Essais, installé à Bliiida, souhaite contribuer à rendre la photographie accessible à tous les publics.

 

Un festival « éducatif »

« Photographie mon amour » propose des conférences, des expositions ainsi que des workshops et des rencontres avec des artistes locaux, mettant ainsi la ville de Metz, mais également la grande région, en avant. Le festival est une « éducation à la photographie » avec la volonté de remettre au goût du jour les anciennes pratiques photographiques, comme l’argentique. Le public y trouvera également des ateliers animés par des professionnels, stands d’éditeurs, marathons photo, studios participatifs, conférences…

 

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Le photographe « Le Turk » by Raoul Gilibert

 

Un festival très bien entouré

De nombreux artistes participent au festival tel que Le Turk, Camille Gharbi, Bruno Amsellem ou encore Hélène Virion. Ces artistes, et particulièrement Le Turk, sont logés en résidence à la Villa Beausoleil, situé 28 rue du XXe Corps Américain à Metz. Havre de paix et de création, cette villa est un véritable lieu de vie et d’activités culturelles qui accompagne les associations.

 

Vous souhaitez participer à un atelier ? Le programme et les inscriptions sont disponibles sur le site internet du festival : www.monamour.photo. Vous pouvez également faire un don en ligne pour soutenir le Festival « Photographie mon amour ».

 

Le vernissage du festival aura lieu le vendredi 3 mai à la Basilique Saint-Vincent à partir de 18h.

 

Par Barbara Zimol