Semaine internationale de la justice restaurative

Du 19 au 26 novembre 2018 en France se tient la Semaine Internationale de la Justice Restaurative. À cette occasion, le film « En mille morceaux » sera projeté au Klub le mardi 20 novembre à 20h et sera suivi d’un débat avec des professionnels.

 

Alors que la situation des victimes d’infraction est au centre des discussions mais est souvent réduite à un débat purement vindicatif et biaisé. À l’heure où la justice pénale est questionnée quant à ses résultats, la justice restaurative apparaît comme une réponse, complémentaire, de plus en plus pertinente, permettant de mieux répondre à ces attentes. Intégrée dans la loi française en août 2014, la justice restaurative offre un espace de dialogue à toutes les personnes concernées par une infraction (victimes, auteurs, leurs proches et l’ensemble de la société). Elle leur permet d’évoquer ensemble les répercussions engendrées par cette infraction.

 

De plus en plus de professionnels se mobilisent aujourd’hui pour la rendre accessible. Pour leur rendre hommage et pour mieux faire connaitre leurs actions, l’Institut Français pour la Justice Restaurative (IFJR) et ses partenaires dont l’Association Mosellane d’Action Éducative et Sociale en Milieu Ouvert (AAESEMO), dont Jean-Luc Saccani est le Président et Sophie Maurice-Pluchon la Directrice, la Fédération France Victimes, organisent et font vivre en France la Semaine Internationale de la Justice Restaurative.

 

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Le film « En mille morceaux » sera projeté au Klub le mardi 20 novembre à 20h

 

Un film pour comprendre la justice restaurative

 

À cette occasion, plusieurs projections-débats se tiendront en France autour du film En mille morceaux qui parle de la démarche d’une mère victime et de l’auteur de l’assassinat de son fils ayant souhaité se rencontrer. Le 20 novembre 2018 à 20h, le cinéma le Klub à Metz donne la parole à l’Associations Mosellane d’Action Educative et Sociale En milieu Ouvert et vous propose de venir découvrir la justice restaurative et d’échanger avec les hommes et femmes qui font vivre cette justice restaurative.

 

Par Jérémy Loeung