Béziers – FC Metz : sept sur sept ?

Les Grenats reprennent le chemin de la Ligue 2 ce soir (20h45) avec un déplacement chez le promu de l’AS Béziers, l’occasion de poursuivre le sans-faute dans un début de saison où tous les signaux sont au vert.

 

La trêve internationale terminée, la Ligue 2 reprend ses droits. Le FC Metz, leader du championnat, va rencontrer ce soir des petits nouveaux à ce niveau, l’AS Béziers entraîné par Mathieu Chabert. L’Avenir Sportif Béziers est né en 2007 de la fusion de plusieurs clubs de football biterrois, et a obtenu le statut professionnel en 2018, après avoir terminé à la deuxième place du championnat de National.

 

Le mauvais état de la pelouse du stade de la Méditerranée, désormais nouvel enceinte où évolue les « Blaugrana » et qu’ils partagent avec le club de rugby local, avait dû entraîner il y a quelques semaines le report au 2 octobre de la rencontre entre l’AS Béziers et le RC Lens. Mais pas d’inquiétude pour ce lundi soir, le club a tenu à se montrer rassurant sur les réseaux sociaux, photos à l’appui, et pourra jouer son premier match de la saison dans sa nouvelle antre et sur une pelouse praticable.

 

Un record à égaler pour le FC Metz

 

Pas de chamboulement dans le groupe de Fréderic Antonetti si ce n’est l’absence du capverdien Jamiro Monteiro. Un déplacement à Béziers dont se méfie l’entraîneur grenat, d’autant plus que les équipes du Grand Est semblent réussir aux biterrois, avec une victoire à Marcel-Picot lors de la 1ère journée (0-1), ainsi qu’au stade de l’Aube chez des troyens également bien mal en point (1-2). Les promus figurent actuellement à la quinzième place du classement.

 

En cas de victoire ce lundi soir au stade de la Méditerranée, le FC Metz pourrait égaler son record de victoires consécutives en Ligue 2 (7). Un record établi entre la dixième et la seizième journée de la saison 2013-14 sous la direction d’Albert Cartier. Les victoires appelant les victoires, les supporters messins n’en attendent qu’une nouvelle pour pouvoir continuer à chambrer leurs voisins nancéiens, qui connaissent eux un début de saison à l’exact opposé.

 

Par Thibaut Goetz