Trois jours après sa qualification pour les quarts de finale de la Ligue des Champions, Metz Handball en a fait de même, ce mercredi soir, à Besançon en Coupe de France (27-28). Thierry Weizman vit bien « une époque formidable ».
Pour l’instant, la pièce tombe toujours du bon côté… Comme il y a trois semaines en championnat, Metz Handball a énormément souffert pour se débarrasser de la coriace équipe bisontine de Raphaëlle Tervel. Et encore une fois d’un souffle, d’un petit but (27-28). Au bout, la qualification en poche pour les quarts de finale de la Coupe de France. Certainement pas la priorité de Thierry Weizman, qui, sur le chemin de la gloire, ne veut cependant rien laisser sur le bas-côté. Les Dragonnes ont, comme très souvent, pu s’appuyer sur une base arrière très efficace, Grâce Zaadi (5 buts), Xénia Smits (4 buts) et Ana Gros (4 buts) faisant parler la poudre comme elles savent si bien le faire. Moins à son avantage ces derniers temps, l’ailière Manon Houette a également été décisive avec quatre réalisations. Cette qualification est un beau cadeau à leur président, qui recevra ce soir, à 18h, des mains de Dominique Gros la médaille d’honneur de la Ville de Metz pour l’ensemble de son œuvre. Une juste récompense pour ce fidèle serviteur du sport messin, mais pas que. Le médecin de profession est par ailleurs pressenti pour être candidat en 2020 aux municipales de Longeville-lès-Metz.
Par Lucas Bernardi
